Pourquoi j’étais là ? Très bonne question cela faisait un moment que je me la posais en regardant mon vaisseau gumi en lambeau. C’était génial en ce moment fallait toujours que je manque de bol et cette journée était de pire en pire. Pas que je n’aimais pas ce monde, mais quand on entrait sur la terre des lions on finissait par être transformés et je n’aimais pas spécialement ça. Comment j’en étais arrivé là sérieux ? Mon vaisseau allait pourtant bien jusqu’à maintenant. Je le faisais vérifier à chaque départ et arrivée. Il n’était pas sensé se produire une telle chose avec toutes ses vérifications quotidiennes.

Je réfléchissais donc à comment ce crash avait du se produire. Je rentrais d’une mission d’aide au domaine de Russie donc si ça se trouve c’était quelques sans-cœurs qui avaient trafiqués le moteur avant que je ne prenne la poudre d’escampette. Ses saloperies rentraient partout alors ça ne m’étonnerais pas. C’était bien la seule solution, ce n’était pas Derek qui m’aurait saboté mon vaisseau, même si ce n’est pas l’amour fou entre nous il ne serait pas à ce point là je ne pense pas. J’ai assez confiance en lui pour savoir qu’il ne ferait pas un truc pareil du moins pas à un allié.

Du les sans-cœurs était la seule option valable. Saleté de bestioles ! Si j’en voyais ici j’allais faire un massacre rien que pour me défouler après cette journée plus que nulle. Me disant que de toute évidence je n’avancerais pas en regardant mon vaisseau démembrer, je finis par me décider à bouger. La terre des lions était un lieu magnifique et j’allais pouvoir profiter de ma transformation pour profiter de l’adrénaline qu’elle me donnerait. Quoi de mieux que de courir à en perdre haleine quand on est un guépard ? Je ne suis encore jamais venu dans ce monde alors je ne savais pas en quoi j’allais me métamorphosé. A mon grand soulagement ce fut en félin au pelage roux et blanc tacheté de noir. Au moins je ne serais pas sans défense si je tombais sur des ennemies, j’aurais largement de quoi me défendre.

Je ne savais pas pourquoi le guépard peut-être dû à mon agilité ? En tout je n’allais pas me plaindre je préférais ça que de me transformer en phacochère ou je ne sais quoi d’autre. Rien que pour se déplacer ça doit être chiant. Alors que là je n’avais aucun mal à prendre mes marques et à courir dans les hautes herbes de la savane. Bon c’est sûr qu’au départ le temps de s’habituer à marcher à quatre pattes on s’emmêle un peu les pinceaux, mais ça se fait c’est pas si compliqué. Une fois dans les hautes herbes j’entendis des bruits alentours et je me demandais bien ce que cela pouvait être.

J’allais donc en direction des pas que j’avais entendus ne sachant pas trop sur quoi ou qui je tomberais. Après quelques minutes je marchais sur un bout de bois sans faire exprès. H le boulet, super discret quoi…Si jamais c’était un ennemi il allait m’entendre à des kilomètres à la ronde. Je finis par sortir des fourrées après tout j’étais grillé on verrait bien ce qui m’attendrait. J’étais confiant en mes capacités de course si jamais je tombais sur plus fort que moi. A mon grand soulagement je tombais sur un autre félin une lionne si je ne me trompais pas. Après ce n’était pas dit qu’elle était mon amie pour autant. Je décidais donc de la sonder afin de voir si elle était de mon côté ou non.

Salut, tu as l’air aussi paumé que moi toi aussi tu t’es crashé dans ce monde ou c’est autre chose qui t’a amené là ?

C’est là que de nouveaux craquements se firent entendre. Tous mes sens étaient en alerte face à cette potentielle nouvelle menace. Je ne savais pas encore si la lionne était avec moi, mais je n’avais pas le temps de m’en préoccuper. En effet, des sans cœurs finirent par apparaître en grand nombre et ce n’était pas pour nous donner un cours de samba.

Si tu es contre eux on va s’entendre si tu es avec eux je ne donne pas cher de ta peau. Alors mon camp ou le leur ?

Cette jeune femme était de toute évidence paumée et n’était pas de ce royaume sinon ça se saurait. Elle me regardait avec incompréhension quand je parlais de crash donc elle n’était déjà pas venue en vaisseau gumi. Je me demandais comment alors. Il y avait différentes choses possibles, se transformer en esprit comme un ami gardien, invoquer une chimère pouvant faire du voyage inter-dimensionnel ou peut-être des portails encore. Je crois me souvenir que certains objets pouvaient aussi créer des passages. Dans tout les cas, elle eut un léger mouvement de recul en m’entendant parler. Je n’avançais pas plus mon but n’étant pas de l’effrayée.

Malgré le fait qu’elle soit peu sûre d’elle elle commença à parler quand des sans-cœurs apparurent. On pouvait pas avoir une discussion tranquillement ? Je soupirais agacé par leur présence. Au moins j’allais pouvoir me défouler pour leur sale coup à mon vaisseau. Je sortais mes griffes prêt à en découdre. Au moindre mouvement de leur part je leur sauterais à la gorge. Au moins, je ne serais pas seul face à ce tas d’ennemis. La lionne avait l’air de vouloir m’aider. Tant mieux ça me fera un soucis en moins. Si en plus il avait fallu que je la protège on était pas sorti. Elle devait encore avoir du mal dans ce nouveau corps, mais elle trouverait vite ses marques en combat de toute façon c’est pas comme si elle avait le choix de faire autrement.

Nickel, on protège les arrières de l’autre alors. N’hésites pas à croquer ou taillader ! dis-je alors que je partais moi-même à l’assaut dans demander mon reste.

J’étais pas le genre de cible statique qui attendait de se faire tuer, je bougeait et sous cette forme encore plus vite que sous ma forme humaine. Je sautais sans hésiter sur un premier sans-cœur lui arrachant sans vergogne la gorge avant de sauter sur un autre toute griffes dehors. Je regardais du coin de l’œil comment se débrouillais ma collègue qui avait l’air d’y arriver malgré le fait qu’elle n’était pas habitué à combattre sous cette forme. En cas de crise on devient vite débrouillard. Je la laissais donc combattre de son côté déchiquetant et écrasant tout sur son passage pendant que je faisais de même de mon côté. Etant encerclés fallait qu’on fasse chacun son boulot.

L’adrénaline ressentie durant ce combat était incroyable. Je n’aurais jamais pensé que ça pouvait être aussi excitant de se battre sous cette forme. Il faut dire aussi que je craignais déjà plus pour ma vie étant donné que je maîtrisais moins la forme guépard qu’humaine. Mais c’était pas trop mal pour un début, et ma camarade c’était bien débrouillée aussi. Elle avait l’air épuisée d’ailleurs heureusement qu’on avait fini parce qu’elle n’aurait pas supporté une vague d’ennemi en plus. On était à l’abri de rien, mais se reposer restait une bonne idée et je me couchais donc près d’elle laissant mon souffle raque et haché revenir à la normal. Cela faisait du bien de se défouler en tout cas, je venais d’évacuer toute ma frustration rien que par ce combat.

Ne te dévalorise pas comme ça, y a un début à tout. Et j’avais pas mal la rage à cause des sans-cœurs d’où le fait que j’étais une machine à tuer. Mais tu m’a quand même bien aidé. Moi c’est Nicolas et toi ?

Je baillais avant de reposer de nouveau ma tête sur mes pattes.

Moi aussi j’ai une forme humaine normalement et des armes et c’est vrai que c’est pas super pratique de se retrouver sans rien mise à part un corps qu’on contrôle à peine.

Je ne pensais pas vraiment qu’on serait moins en danger ailleurs, mais ce qui était sûr c’est que nous ne devions pas rester trop longtemps au même endroit. Fallait que l’on bouge pour ne pas faire des proies trop faciles. On avait eu droit qu’à du menu fretin alors quand ce serait les gros sans-cœurs ce serait déjà plus dur. Il valait mieux finir de reprendre notre souffle et passé notre chemin. On aurait également plus de chance ensemble, car oui elle était compté dans mes actions. Mais je ne lui avais pas encore demander si elle voulait rester avec moi le temps qu’on trovue un moyen de se partir d’ici.

Tu préfères faire la route seule où tu veux m’accompagner ?

Le fait que je me présente et lui parle d’un ton décontracté avait l’air de la rassurer et de la détendre un tant soit peu. C’est là qu’elle en profita d’ailleurs pour se présenter. Elle était arrivé ici par accident, je ne savais toujours pas comment, et avait perdus de vue ses amis. Je ne sais pas ce qu’il s’était passé, mais je pense que si ses amis avaient été dans ce monde ils n’auraient pas été loin. Il fallait qu’on regarde dans les alentours s’ils étaient là et si ce n’était pas le cas et bien il fallait voir pour quitter ce monde et parcourir les autres à leur recherche. De toute façon il fallait que j’aille voir le vieux Rafiki qui vivait dans le coin, j’avais entendu dire que si on tombait dans ce monde c’était le plus à même de nous aider.

Je parlais ensuite pour savoir si elle voulait qu’on reste ensemble où que l’on se sépare. Apparemment, elle ne se sentait pas de rester seule et quelque part c’était mieux. Ensemble on aurait davantage de chance de survie si jamais d’autres sans-cœurs se pointaient. Elle m’expliqua ensuite que l’un de ses amis pouvaient trouver des portails faisant passer de monde en monde. Au moins maintenant je savais commet ils s’y prenaient d’où le fait qu’elle m’avait regardé de façon ahuri quand je lui avais parlé de crash.

Eh bien on va voir s’il n’y a pas traces d’eux aux alentours et si ce n’est pas le cas il vaut mieux quitter ce monde le plus vite possible, car dans ses corps on est en position désavantageuse.

Bon ben y avait plus qu’à bouger de là. On allait pas faire le piquet sans sept ans. Il fallait qu’on trouve une solution le plus vite possible. D’abord je m’employais à regarder dans les alentours du point d’eau où on était arrivé. Malheureusement il n’y avait pas âme qui vivent.

Le vieux Rafiki pourrra sûrement nous aider. C’est la sage de ce monde, il nous aidera à trouver un moyen. Je ne l'ai jamais rencontré seulement entendu parler de lui. C'est un babouin avec un bâton, il devrait pas être si difficile à trouver...

De toute façon c'est pas comme si on avait le choix. C'était pas avec ce coprs que j'allais pouvoir réparer mon vaisseau.

J’espérais vraiment que ce singe nous aiderait. Le fait de ne jamais l’avoir rencontré n’allait pas m’aider à le retrouver, mais Le roi Mickey m’avait déjà un peu parler de lui donc je devrais être en mesure de le reconnaître si jamais il se manifestait à nous. Et puis de toute manière nous n’avions que ça comme solution donc fallait bien faire avec. Stella avait l’air d’accord pour faire comme ça alors il n’y avait plus qu’à se lancer dans la savane en espérant qu’on le retrouverait. Enfin je disais ça, mais il fallait aller au rocher du lion ou un truc dans le genre apparemment là-bas on saurait nous indiquer l’endroit ou vis Rafiki. C’est fou ce qu’on pouvait apprendre dans les livres de la bibliothèque du château. Elle contenait tellement de livre sur les différents monde que ça aidait pour s’y retrouver une fois sur place. Heureusement que je lisais beaucoup ça allait aider.

En effet même si j’espère que Rafiki aura la solution sans qu’on ait besoin de chercher.

Il avait peut-être eut d’autres âme vagabondes avant nous peut-être saurait-il nous aiguiller sans soucis ? On sait jamais l’espoir fait vivre.

Eh bien parce que je suis un gardien. Une personne naviguant dans les mondes pour combattre les sans-cœurs. Je protège normalement la princesse d’Arendelle un autre monde. J’étais en route pour ce monde quand mon vaisseau m’a lâché. Je suis documenté sur chaque monde existant d’où mon savoir.

Je souriais avec mes belles quenottes de félins avant de rajouter deux trois choses.

On va suivre la rivière voir où ça nous mène et avec un peu de bol on trouvera peut-être des personnes capables de nous dire où se trouve le rocher du lion ou alors Rafiki. Dans les deux cas ça nous aiderait.

J’avançais donc d’un pas déterminé bien décidé à quitter ce monde le plus vite possible. J’étais inquiet pour Elsa et si jamais il lui arrivait quelque chose en mon absence je ne m’en remettrais jamais. J’avais besoin de la voir et de voir que tout allait bien c’était une question de survie. Elle était un peu comme une petite sœur pour moi. J’étais attachée à elle maintenant. Je soupirais me disant que je n’avais vraiment pas eu de bol aujourd’hui dans le genre journée pourrie on peut difficilement faire pire…Heureusement que je n’étais pas tout seul dans cette galère enfin je préférerais que Stealla soit avec ses amis, mais c’était bon que je ne me retrouve pas tout seul quand même j’aurais pété un câble sinon.

D’où viens tu Stella ? Et comment s’appellent tes amis si ça se trouve j’en ai croisé un. On sait jamais.

Je ne savais pas si c’était bien intelligent de lui dire ce que j’étais exactement, mais quelque part je sentais que je n’avais pas à m’inquiéter. Je lui dis donc brièvement en quoi consistait mon travail. C’est vrai que naviguer à travers les mondes pour défaire les sans-cœurs résumait assez bien les choses et elle parut très attentive à ce que je lui disais. Je me demandais bien pourquoi, qui sait peut-être aurais-je bientôt la réponse si elle voulait bien répondre à certaines de mes questions. Si je savais un peu d’où elle venait ou si je connaissais l’un de ses amis peut-être comprendrais-je mieux sa situation.

Elle avait l’air songeuse quand je lui demandais de m’en dire plus sur elle. Mais elle reprit rapidement ses esprits et me parla. Lysandre et Valkyon ? Jamais entendu parler. Je n’allais déjà pas pouvoir l’aider pour ses amis. Par contre quand elle me parla d’Avalon je repartis dans mes souvenirs des bouquins que j’avais lus sur ce monde. Ce royaume avait pas mal de problèmes en ce moment et aurait bien besoin que quelques gardiens aillent faire le ménage. Peut-être étais-ce pour ça qu’elle avait l’air si attentive. Peut-être voulait-elle mon aide ? Ou du moins que je lui propose une solution pour sauver son monde de l’oppression ?

Une possibilité que je gardais dans le coin de mon cerveau. J’avais entendu parler d’un coup d’état dans ce pays et qu’il avait échouer au grand damne des habitants. Donc quand elle me parla de ce qu’elle avait fait avec ses amis j’en restais coi quelques secondes.

Attends une seconde si je comprends bien toi et tes amis êtes les instigateurs du coup d’état ? Eh ben, vous n’y êtes pas allé mollo. Désolé que les sans-cœurs s’en soit mêler. Votre monde serait libre à cette heure-ci.

Un prince avec une armée de ténèbres à ses ordres ce n’était pas évident lorsqu’on était que trois.

Je comprends ce que tu ressens tu n’es pas obligée de continuer si c’est trop dur je comprendrais.

Je continuais d’avancer tandis qu’elle finissait son récit sur leur fuite à elle et ses amis et leur séparation soudaine. Tout ça était vraiment bizarre, mais après n’ayant pas assisté à la séparation je ne pouvais pas deviner ce qui avait pu causer celle-ci.

On arrivait doucement vers une oasis pleines d’autres animaux. Je ne savais pas si c’était un avantage d’être transformer en félin quand on voyait que tous les animaux étaient des proies potentielles pour nous…

Tu crois qu’on peut les accoster comme ça ? Où il nous faut un plan ? S’ils s’enfuient tous on ne sera pas aidés. Tu as une idée de comment t’y prendre ?

J’étais surpris d’avoir en face de moi l’une des personnes ayant fomenté le complot contre le roi d’Avalon, cependant je n’étais pas effrayé au contraire. J’étais fier d’avoir une femme aussi courageuse à mes côtés. Ce n’était pas facile de se confronter contre les puissants de notre monde, mais ils l’avaient fait elle et ses amis et aurait réussis si les sans-cœurs n’étaient pas venus fourrés leur nez où il ne fallait pas.

J’imagine. J’essayerais de parler en la faveur de ton monde pour qu’on y envoie une équipe de gardiens, mais malheureusement les sans-coeurs sont partout donc ça ne se fera pas forcément tout de suite.

Après tout je pouvais toujours essayer d’aider. Je pouvais bien demander ça ne coûtait rien, je verrais bien ce que le roi Mickey me dirais à ce sujet. Je ne m’apitoyais pas je proposais seulement mon aide. Une armée de sans-cœurs contre trois personnes ça faisait bien peu équilibré à mon goût. Quelques gardiens en plus pourraient être utiles en renforts. Enfin, là encore il fallait d’abord retrouver ses amis. Tout en réfléchissant à la situation de Stella et à Avalon on finit par arriver à une petite oasis où était regroupé la plupart de la faune du coin excepté les félins.

Bon fallait pas se voiler la face si on les approchait comme ça c’était mort. Fallait vraiment qu’on trouve une solution simple d'attraper l’un de ses animaux pour les convaincre de nous causer. C’est là que Stella me fit part de son idée ingénieuse de les prendre en sandwich. Mais pas n’importe comment. De façon à ce que l’un d’entre eux se sépare du reste du groupe et qu’on l’accule tout les deux. Je souriais avant d’acquiescer contournant rapidement l’oasis pour suivre le plan de ma collègue. Une fois que je fus à peu près en place je vis Stella s’avancer.

Au départ, un silence pesant s’installa puis ce fut un capharnaüm sans nom. Tous partirent dans des directions différentes et là j’en profitais pour acculer un de ceux qui me paraissait le plus lent, un hippopotame. Je sais ce n’est pas forcément très loyal, mais c’est pas comme si j’allais le bouffer j’avais juste besoin d’informations. Stella me rejoignit assez vite et on encerclait le pauvre malheureux qui se demandait bien à quelle sauce il allait se faire manger.Je finis par m’asseoir et le regardais tranquillement.

On se calme. On est pas là pour te bouffer on veux juste savoir où trouver le vieux Rafiki.

J’avais dit ça d’un ton calme et assuré. Au départ, l’hippo tremblait comme une feuille et puis petit à petit quand il vit que j’étais vraiment sérieux il se dérida et finit par soupirer de soulagement.

Vous me laisserez partir si je vous di où vous pouvez le trouver ?

Bien sûr comme je te l’ai dis on est pas là pour dîner. Alors ou est-il ? Si tu pouvais même nous dire dans quelle direction aller se serait bien car j’ai pas un sens de l’orientation très affuté ici.

Il finit par se lever et par indiquer la direction d’un grand arbre un peu plus loin.

Vous le trouverez là-bas, il vit dans cet arbre. S’il n’y est pas soit vous l’attendez soit vous allez le chercher il sera sûrement au rocher du lion. A vous de voir. Je peux y aller ?

Je lui laissais le passage et le laissais partir comme je l’avais dit regardant le grand arbre au loin.

Bon ben y a plus qu’à, en espérant qu’on va le trouver là bas.