Nom & Prénom : Weiss Rajon
Âge : La vingtaine
Lieu de naissance : San Fransokyo
Groupe : Apprenti Keyblade Master.
Arme : Fenrir
Pouvoir : Foudre, Soin
Race : Humain

« C'est le rapport sur le soldat Weiss ? C'est bizarre... Je le pensais plus petit et moins... Enfin vous voyez ce que je veux dire. »

Un homme venait de faire son apparition dans une pièce, une sorte de base. Cet homme semblait être un gradé militaire, il était de taille moyenne, un petit bouc poivre. Bien qu'il portait une casquette, il était bel et bien visible que cet homme était chauve. Il s'adressait à un scientifique, un chercheur ou quelque chose dans ce genre. La même taille sauf qu'il semblait se raser et que lui avait encore des cheveux. Il semblait consulter un dossier psychologique d'un ancien soldat.

« Oui monsieur, c'est lui et je vois ce que vous voulez dire. D'après le rapport et ce que vous nous avez demandé, il semblerait qu'il soit un homme fort regretté à l'armée... Ouverture du dossier. »

▬ Accordée ▬

Dossier WSS, date inconnu, lieu inconnu. Il semblerait que le sujet ne soit pas l'image qu'il projette. A ma première rencontre avec lui, je m'attendais à un homme agressif, prêt à me trucider sur place mais que nenni. En vrai, c'est un homme parfaitement agréable, il semble savoir de quoi il parle sans avoir recours à la sophistique, quoi que... Son regard paraît froid mais lorsqu'il commence à vous parler on à l'impression d'avoir à faire avec une source de lumière, incroyable. Le sujet est impressionnant, il refuse de se battre plus, il a le physique d'un homme prêt à partir au front pourtant il n'en veut rien, il préfère rester chez lui à cultiver, peindre, jouer de la musique. Quel découverte que je fais là. Il me conte les histoires de sa jeunesse, il est très calme et posé. Il ne semble pas avoir de phobie apparente, c'est un homme de parole, il m'a promis qu'il me ramènerait ses tableaux et il l'a fait. Quelque chose d'encore plus étonnant encore ? Je ne pense pas que cela se trouve en ce bas monde... A vrai dire, il ne s'énerve jamais, j'ai pourtant tout tenté. J'ai été jusqu'à lui parler de ses cicatrices et de la personne qui lui avait fait cela, rien. Il n'est pas très rancunier et semble prêt à pardonner à tout va. Si je devais le décrire, la première chose qui me viendrait à l'esprit c'est : une armoire à glace avec un cœur en or. Oui, la métaphore est justement trouvé. Les tests psychologiques ne révèlent aucun troubles mentaux mais il y a quelque chose d’assez étrange chez lui, être gentil à ce point-là c'est impossible. A moins qu'il ne cache bien son jeu ? Non, tout les test de mensonges n'ont rien trouvé, même les plus grands experts comportementaux et mentalistes n'ont rien trouvé. J'épluchais son dossier militaire quand ce que j'y trouvais confirmais ce que j'avais appris. C'est un leader naturel, quand son sous-officier à décider de déserter, il à pris les commandes et mener son escadron à la victoire, il a même sauvé la vie de plusieurs villageois au risque de la sienne. Comment peut-on mettre sa vie en péril pour les autres ? Lorsque je lui demande, il me répond, toujours en souriant, que les autres auraient fait pareil à sa place. Gentillesse excessive ou naïveté abondante, je ne sais pas mais la deuxième probabilité me semble la plus juste, ce n'est pas des villageois qui auraient sauvé un simple soldat. Rajon Weiss, de son nom complet, semble être une personne très intelligente, il n'a jamais sauté de classe ni jamais redoublé mais pourtant ses résultats aux examens dépassent mes attentes, je le trouvais gentil et « gentil ». Si jamais un jour il lit cela, qu'il me pardonne. Avec lui, j'ai appris à ne pas juger un livre par sa couverture, d'ailleurs j'ai aussi appris à jouer de la guitare, c'est un excellent professeur très patient et toujours tout sourire. Cela devient presque agaçant pour les autres, mais ils ne semblent pas le comprendre. Moi si, il souffre d'un traumatisme lié à un événement du passé. Après quelques recherches, il c'est enfin ouvert à moi, cela n'a pas été facile mais j'ai réussi, il accorde sa confiance que très rarement. Il semblerait qu'il ai perdu un camarade et qu'il ai été impuissant. Pour lui, ce camarade était une figure, une idole, la représentation humaine de la lumière et l'allégorie de la gentillesse. Il veut essayer de continuer de le faire vivre à travers lui, incroyable. Il semble vouloir retenir ses larmes, contrôler ses émotions. Passons à ses faiblesse maintenant, s'il est intelligent, il se laisse facilement être proie au doute, lors du test intellectuel, la feuille qu'il m'a rendu était abimée par les gommages incessants. Il semblerait aussi qu'il souffre de problèmes ventilatoires. Depuis la mort de son ami, on dirait qu'il a peur de la Faucheuse, c'est compréhensible, c'est sa seul peur, pas déclarable comme une phobie vu qu'à mon avis, tout le monde à peur de la mort. Bref, il semble aussi très, permettez-moi l'expression, nul dans l'expression de ses sentiments. M'enfin, le mot "nul" est peut-être excessif pour quelque chose d'aussi complexe que les sentiments mais sa proie au doute n'affecte pas que ses réponses, aussi son mental. S'il doute de lui-même, nul ne sait combien de temps il survivrait sur un champ de bataille. Il semblerait que seul un déclic particulier arrive à lui faire surpasser cela mais il faut une situation bien particulière.. des amis en danger peut-être ? C'est très paradoxal, tout est compliqué chez lui, en résumé : il peut se révéler être un très grand chef mais la plupart du temps il doute, il à cet aspect de tueur en série mais est doux comme un agneau... Ce dossier s'achève ici. Fin de transmission.

Dossier RJN, lieu inconnu, date inconnu. J'ai épluché les dossiers de mon collègue et il est vrai que ce spécimen est surprenant. Nous avons tenté de le mettre dans des situations virtuelles. Lorsque qu'un village était en feu, il a tenté de sauver tout les villageois, il a réussi mais son avatar est mort. Lorsqu'il était sur le terrain sous le feu ennemi, il a tenté de prendre les commandes après la fuite d'un officier et a remporté la victoire haut la main, sans perdre un seul homme et... sans en tuer aucun. Quel sens aigu de la stratégie, il aurait fait un parfait officier, dommage qu'il veuille arrêter. Nous n'avons rien contre lui, il a parfaitement servi son pays et les couleurs de son drapeau, il pourra retourner à son quartier de San Fransokyo après les quelques tests restants. On lui pose un casque sur la tête et on lui demande de visualiser les concepts suivants : amour et haine. Pour l'amour, c'est incroyable, sa tête est rempli d'images perverses et de sa conception de la fille idéale. Il semblerait qu'il veuille fonder une famille. Pour la haine, voilà quelque chose d'encore plus surprenant : rien. On a eu beau chercher encore et encore, rien n'apparaissait. On a d'abord pensé à une erreur technique dans le programme puis on a vérifié l'algorithme encore et encore mais toujours rien. Il semble faire abstraction de ce sentiment. Bien, nous n'avons aucune raison de le retenir ici plus longtemps. Général, vous perdez sûrement un grand officier mais soyez sûr d'une chose, nous préservons ici à San Fransokyo une perle extrêmement rare. Un citoyen comme lui, que dis-je, un modèle devrait être en sécurité sur notre territoire. D'ailleurs, il semblerait qu'il éprouve cependant un tout petit peu de colère à votre égard, je n'ai pas voulu en savoir plus. Fin de dossier.

« Qu'avez-vous à redire monsieur ? »

« Rien... Il a sauvé mon fils, je ne peux rien dire. »

Et le haut gradé quitta la pièce avec les soldats qui l'accompagnait.

Lève toi et marche.

Ce sont tes mots, les mots que tu prononces à celui qui est à terre mais qui ne semble plus t'écouter. Tu essayes de le secouer brutalement en vain, tu n'as plus rien à perdre parce qu'au fond de toi, tu sais qu'il ne se réveillera pas. Ce gars-là, c'est ton pote, que dis-je, ton frère. Vous avez grandis ensemble, vous êtes né le même jour, le même mois, la même année. Vous n'avez ni le même père, ni la même mère mais les gens vous regardaient comme deux vrais frères. Vous faisiez les quatre cents coups ensemble, des blagues juvéniles comme sonner puis courir à toute allure jusqu'aux conflits les plus sérieux. Vous avez eu envie de vous battre entre vous c'est vrai mais chacun reconnaissaient ses erreurs et vous vous pardonniez en vous offrant une bonne glace chacun. Toi, tu étais admiratif, vous aviez le même âge mais il était plus mature et il semblait être le grand frère. Par stupidité et complicité accrues, tu le suivais dans chacune de ses initiatives. Tu étais prêt à aller dans les mêmes écoles que lui, prêt à faire le même métier que lui. Si il y avait de quoi le permettre, tu te serais marié à la même femme que lui. Tu l'as suivi quand il c'est engagé dans l'armée. Et aujourd'hui tu es là, tu regardes ton ami ne respirant plus, ne souriant plus et pendant quelques secondes, tu étais dans la même situation. Tu perdais ton souffle et ton sourire, tu ne savais pas comment réagir. Tes camarades te regardaient avec surprise, jamais ils ne t'avaient vus comme cela. Pire encore, ils te regardaient avec pitié, tu perdais le plus proche de tes frères. Tu deviens donc plus mature et tu es de nature gentil, toi qui avait un petit côté froid avant, tu oublies et tu apprends à sourire à toutes les situations qui se présentent. Tes camarades te trouvent changé, normal. Toi aussi au début tu avais du mal et parfois tu lançais tes regards froids habituels mais avec le temps tu avais complètement oublié et tu étais le plus généreux.

J'arrête, je repars.

Ce sont tes mots, les mots que tu prononces à ceux qui te regardent avec surprise. Depuis la mort de ton camarade, ton frère, tu n'étais plus le même. Bien sûr tu étais devenu quelqu'un de très généreux mais c'est tout, la nuit, tu ne dormais plus, tu n'y arrivais pas alors même que tu t'acharnais à vouloir. Tu repensais à lui mais surtout, comment tu allais l'annoncer à ses parents. Tu as perdu ta mère il y a peu alors que ton père a pris la fuite à ta naissance. Finalement, ton camarade et ses parents, c'était vraiment une famille pour toi. Tu as pris soin de prendre ses affaires et de les ranger avec précision comme il aimait le faire, tu prenais ses plaques et tu les rangeais dans ta poche. Ta prochaine étape ? Une banalité, tu dois passer quelques tests. Après une semaine, tu as enfin l'autorisation de rentrer chez toi. La première chose que tu fais ? Tu vas voir la tombe de ta mère et tu pleures à chaude larme car tu n'a pas pu le protéger. Tu vas enfin l'annoncer à ses parents mais ils étaient déjà au courant, les hauts-gradés t'avaient devancés pour que tu n'ai pas à le faire mais semblaient ne pas t'avoir prévenu. L'ordre est-il toujours l'ordre ? Qu'importe, tu restes pour le dîner, ils t'ont invités et depuis tout petit tu ne sais pas leur dire non. Tu rentres enfin chez toi, le ventre bien rempli, tu essayes enfin de t'endormir mais non, des cris venant de partout te réveille, tu décides d'aller voir, un bâtiment en feu. Tu veux aller aider mais tu es trop loin, tu n'as fait qu'un pas et le bâtiment explose. Le lendemain tu apprends la mort de deux personnes, le professeur Robert Callaghan et le jeune Tadashi Hamada. Tu regardes la photo de ce dernier et tu te sens mal, très mal. Il te rappelle ce frère que tu as perdu. Tu apprends qu'il avait un petit frère mais pas peur, jamais tu n'es allé le voir, ce pauvre Hiro alors que dans le fond, vous étiez pareil, il était juste plus intelligent.

Je veux poursuivre ses rêves.

Ce sont tes mots, les mots que tu prononcent aux parents de ton défunt frère. Ce dernier voulait être un artiste, un peintre ou un musicien, alors tu prends des cours. Tu te révèles être très bon dans ce que tu entreprends, à ton plus grand bonheur. Arrive le moment où tu finis « diplômé ». Chez toi, il y a plein de mini jardin japonais que tu prends plaisir à cultiver, tu peins les scènes de tous les jours en t'autorisant quelque fois des petites folies que tu assumes pleinement comme ajouter des éléphants roses à la place des grosses dames bourgeoises. Cela te fait rire. Tu joues de la guitare, tu ne joues pas comme un dieu certes mais il y a du potentiel. Tu reprends ton train de vie normal quoi. Il y avait aussi cette chose qui t'avait terriblement manqué, la douceur de ton matelas mais cela n'arrangeait pas tes insomnies pour autant, tu repenses toujours aux horreurs que tu as vu là-bas. Un soir alors que tu réussissais enfin à fermer les yeux progressivement grâce à la magie des somnifères, voilà que les pneus crissent. Tu te lèves voir et d'un coup tu entends une voix.

« Heu monsieur ! Pourquoi vous essayez de nous tuer ? »

Nous tuer ? Ces mots sonnent comme insupportable à tes oreilles et tu décides d'aller les aider mais lorsque tu jettes un rapide coup d’œil par la fenêtre, la voiture fonce et alors que tu t'apprêtais à sortir pour la rattrapais, un homme qui semblait marcher sur une masse noire étrange et porter un masque yokai attrape ta voiture et la balance, super. Tu ne t'en servais pas beaucoup, certes, mais tu y tenais à ta voiture.

Pourquoi moi ?

Ces sont tes mots, les mots que tu te répètes sans cesse dans ta tête. Si l'homme au masque de yokai, qui se révélait être le professeur Robert Callaghan qui ne voulait que se venger d'Alistair Krei à qui il en voulait pour la mort de sa fille, Abigail Callaghan qui n'était en faite pas morte. Tu te dis que toute cette histoire est confuse et qu'elle ferait mieux d'être oublié, enfin sauf pour Hiro qui avait quand même perdu son frère Tadashi. Cependant, San Fransokyo ne fut pas en paix pour autant. La situation empira. Si Robert Callaghan n'était plus une menace, de petites créatures sont apparus et ont attaqués les citoyens, leur volant leur cœur. Qu'étaient-elles ? Pourquoi volaient-elles le cœur des gens ? Ta première réaction fut instantanée, tu t'es mis à courir vers la maison des parents de ton ami. Ils étaient sains et saufs. Cependant, les petites créatures venaient d'apparaître chez ces personnes. Elle te sautent dessus, tu croises les bras attendant un miracle... Tu rouvres les yeux, le temps semble comme figé.

Toi qui a tant voulu protéger les autres... Toi au cœur généreux... Porte-là, ressens son pouvoir et fait régner la lumière.

Le temps reprend avec un gros flash lumineux, tu rouvres encore les yeux, plus rien si ce n'est qu'une arme étrange t’apparais dans le creux de la main, une épée mais en forme de clé. Qu'était-ce ? En tout cas, cette arme semblait approprié contre les petites créatures mais elles semblaient plus attirées par toi cependant. Tu fais un peu le ménage dans le quartier mais tu ne manies pas bien cette étrange épée, l'apparition de monstres semble avoir diminué mais ta fatigue ne faisait qu'augmenter, pour la première fois depuis des mois, tu arrivais à dormir. A ton réveil, ton incompréhension était des plus grandes. Les sans-cœur attaquent de nouveaux, ils sont bien plus nombreux. Tu veilles à fuir dans un endroit où il n'y a personne, une lumière apparaît et fait fuir les créatures. Une voix féminine et douce, le chant d'une sirène, tu es attiré par elle. Tu penses que tu es mort mais la lumière t'assures que non. Elle te parle des sans-cœur, de la Confrérie des Ténèbres


Cette lumière avait depuis disparu mais tu avais un étrange sentiment de la connaître. Elle t'avait indiqué l'endroit où tu trouvais un vaisseau pour voyager de mondes en mondes car oui, tu découvrais qu'il y en avait beaucoup plus que tu ne le pensais, en faite, tu pensais que seul ton monde existait. Tu en a visité quelques uns, certains était exclus de tout danger : Les Domaines de Lumière et d'autres dont tu n'osais à peine t'approcher : Les Frontières des Ténèbres. Toujours ta keyblade, c'était le nom de ton arme en main, tu revenais parfois à San Fransokyo mais jamais tu n'oubliais ta mission.

WESH LA FAMILLE Sur l'internet on m'appelle Kyrie qui se prononce comme Kairi et non pas Kiri svp, la bise ! J'ai actuellement 18 ans et je vais vers mes 19. Je suis en terminale L sans être gay ou un emo ._. donc les clichés, passez votre chemin D: ! J'ai redoublé ma seconde (rt si c trist). Je suis un GRAAAAAAAAND fan de sport : le football que je pratique en club, le volleyball que je pratique en option EPS, le basketball et le football US que je pratique pour le fun ! J'aime aussi les jeux-vidéos mais j'y joue beaucoup moins, je jouais souvent à Counter-Strike ou League of Legends. Chui archi-timide en vrai, internet permet de me libérer de ce poids '^'. Que dire de plus ? Sly le sait déjà mais pour un pain au chocolat j'offre un membre de ma famille, ma mère est déjà parti avec Sly, actuellement il me reste mon père, mon frère et ma soeur ainsi qu'une ribambelle d'oncles, de tantes et surtout de cousins éwè. VOILA A PLUS DANS L'BUS COMME ON DIT DANS LA ZONE DE RACAILLES !

Et règlement lu et approuvé '^'