Nom & Prénom : Éole.
Âge : 16 ans.
Lieu de naissance : Inconnu.
Groupe : Citoyen de lumière.
Arme : Notre protagoniste possède une paire de pistolets lui permettant de canaliser sa magie de lumière et d’en faire des balles, le must have pour tuer des sans-cœur sans se risquer à les approcher au corps à corps. Il porte également un poignard rétractable sur lui en tout temps, plus pour son côté utilitaire que pour combattre.
Pouvoir : Éole maîtrise la magie blanche et la magie de lumière. Il possède donc un vaste éventail de sorts de soin ou de support tels que Cure, Aero, Esuna ou Haste, pour ne nommer que ceux-là. Il est également capable de former des sphères d’énergie lumineuse pour s’éclairer ou pour créer de petites explosions.
Race : Humain.

Rigorisme. [ʀigɔʀism]
Attachement très strict aux règles morales ou religieuses; austérité, sévérité.
Ce n’est probablement pas le meilleur point par lequel commencer. Généralement, lorsque l’on dit de quelqu’un qu’il est sérieux et rigoureux, cela sous-entend tout de suite qu’il est coincé et ennuyeux. Il s’agit vraiment d’une mauvaise façon de commencer la conversation. Les premières impressions sont importantes, il faut être à son avantage et donner envie aux gens d’en voir plus. Les convenances auraient voulu que l’on commence par un point plus joyeux tel que l’humour ou la maladresse, pour attendrir. Sinon ce peut aussi être une qualité noble comme la loyauté ou l’honnêteté, quelque chose qui donne envie de faire de l’autre personne un allié. Si l’on commence autrement, sans respecter ce à quoi les gens s’attendent et, surtout, ce qu’ils ont envie de voir, rien ne va plus! Ce n’est pas parce que je suis une routine régulière, que j’étudie chaque soir malgré mes voyages que je suis une mauvaise personne. Cela fait simplement de moi un citoyen éduqué. On peut bien rouler des yeux lorsque je m’obstine à avoir une alimentation équilibrée, c’est un principe qu’il est important pour moi de respecter. Tous mes effets sont perpétuellement rangés, mes notes sont propres et claires et je ramasse toujours tout au fur et à mesure. Bon d’accord, il serait tentant de dire que je manque de fantaisie et ce ne serait sans doute pas entièrement faux, mais il faut bien que quelqu’un ait les pieds sur Terre. Il n’y a rien de mal à vouloir être honnête, respecter les lois et adopter une attitude juste.

Protecteur. [pʀɔtɛktœʀ]
Personne qui protège, qui défend quelqu’un.
Oui, voilà qui est mieux. J’aurai une chance de redorer mon blason et de ne pas passer pour l’intellectuel détestable et ennuyeux comme ça. Étant quelqu’un d’intègre, je m’attends généralement à ce que le monde autour de moi témoigne d’une attitude semblable. Lorsque ce n’est pourtant pas le cas et que je me retrouve en présence d’une injustice, je réagis. Le silence et la passivité, lorsqu’un individu est dans le besoin ou se fait maltraiter, ce n’est tout simplement pas moi. Bien sûr, parfois je me mêle de ce qui ne me regarde pas, mais c’est pour une cause juste. Les plus faibles et les plus jeunes méritent que l’on s’attarde à les défendre, à les encourager. Les gens âgés méritent qu’on leur tende la main pour les aider. Les gens seuls et souffrants méritent que quelqu’un prenne le temps de les comprendre et de les faire se sentir un peu mieux. Vous pouvez toujours rire de moi et dire que je joue aux petits justiciers de pacotille, je sais que mon cœur est au bon endroit et vous ne pourrez jamais m’enlever ça.

Introversion. [ɛ̃tʀɔvɛʀsjɔ̃]
Attitude d’une personne qui est tournée vers elle-même plutôt que vers le monde extérieur.
Malgré ce côté altruiste et déterminé à venir en aide à mon prochain, j’ai toujours été quelqu’un d’assez solitaire. Mes réflexions n’appartiennent qu’à moi et j’ai l’habitude de travailler seul. Il n’y a qu’Arès qui a le privilège d’entrer quand il veut dans ma petite bulle. Je préfère lire que de discuter, je préfère la course à pied plutôt que les sports d’équipe, l’écriture plutôt que la chanson. Modeste, passe-partout avec ma chevelure brune, mes tâches de rousseur inexpliquées et mes lunettes à la monture verte, je me fais discret, pensif. Pourtant je ne suis pas timide, je n’aurais pas peur, techniquement, d’ouvrir la conversation ou de tendre la main à un autre individu. Disons tout simplement que je ne suis pas poussé à le faire naturellement. Les jeunes de mon âge n’ont jamais été d’un grand d’intérêt, autour de moi. Ils ne comprennent pas mes façons d’agir, de réfléchir, et ils ont souvent un savoir bien limité à me transmettre. Pour cela, je préfère la compagnie des adultes, des gens sensés et des intellectuels, comme moi. Enfin, c’est sans doute un peu plus arrogant que ce que je pense, dit comme ça.

Douceur. [dusœʀ]
Comportement attentif, patient et affectueux d’une personne.
C’est un peu gênant, mais je ne peux pas le nier. Lorsque je me suis attaché à quelque chose ou à quelqu’un, je deviens plutôt câlin. Je serre souvent Arès dans mes bras, lorsque je réfléchis. Je passe ma main dans sa fourrure, je lui fais des gratouilles et j’essaie d’ignorer ses dents qui me mordillent. Quand je suis à l’orphelinat, il y a toujours un enfant dans mes bras ou sur mon dos, bien qu’il m’arrive aussi de simplement leur tenir la main, lorsque j’ai besoin d’un peu plus de liberté de mouvement. Ils sont intraitables, il leur faut tous l'affection de « grand frère Éole ». Si je pouvais me cloner, ça me sauverait bien de l’embarras et ça contenterais ces petits énervés. Je n’ai jamais non plus eu peur de prendre madame Héra dans mes bras ou d’offrir une accolade à un ami de longue date par exemple. Comme quoi il y a au moins un domaine où j’arrive à ne pas être entièrement rigide. Les petites attentions me viennent aussi naturellement, mais là encore, seulement lorsque je suis véritablement attaché à autrui.

Curiosité. [kyʀjozite]
Qualité d’une personne curieuse; soif d’apprendre, de connaître.
Le point à venir ne surprendra personne. Le savoir est pour moi la chose la plus sacrée qui existe et ce, sous toutes ces formes. Qu’il s’agisse de connaissances purement académiques, d’histoires vécues ou d’informations cruciales, il n’est pas une donnée qui ne vaille pas la peine d’être examinée plus en profondeur. Aussi étrange que cela puisse paraître, je suis donc plutôt friand des ragots et autres histoires du genre, bien que les questions scientifiques demeurent les premières dans mes priorités. Découvrir une nouvelle façon de voir le monde, essayer de nouvelles choses, autant d’occupations qui me passionnent et qui me donnent une raison de vivre. J’aime goûter de nouveaux plats, découvrir des auteurs ou vivre des aventures inédites. Le bon côté, avec ça, c’est qu’au moins j’ai toujours un sujet de conversation sous le coude. Le mauvais, c’est que je passe tellement de temps à apprendre que je n’en ai plus, pour ces fameuses discussions. L’équilibre n’est pas mon fort, il parait.

C’est… étrange. Le monde a l’air flou, distant. Certains détails ne semblent pas clairs, mais se raffinent dès que j’y porte mon attention. Où suis-je? La désorientation est traitresse et je m’avance à pas chancelants vers cette scène qui joue devant moi. Je reconnais la pièce, je reconnais les murs emplis de dessins. Dans un coin, je vois madame Héra qui lit une histoire aux autres enfants. C’est une brave femme à la chevelure poivre et sel retenue en un chignon serré. Son autorité est certaine, mais ses manières sont douces et justes. Sans elle, l’Orphelinat n’aurait jamais vu le jour, quelque part dans une petite maison de Traverse Town. Ce monde de nuit éternelle est bien connu pour ses qualités de havre. Lorsqu’une âme se perd, que son monde est détruit, c’est bien souvent ici qu’elle vient se réfugier. Ce fut mon cas, à une époque où je ne savais encore que balbutier quelques mots décousus. J’étais si jeune que je n’ai gardé aucun souvenir de mon monde d’origine. Certains trouvent cela malheureux, mais je m’en suis toujours bien accommodé. J’aurais pu être dans une situation bien pire, une situation comme celle de Gaïus. Il est là lui aussi, d’ailleurs. Comme d’habitude, il est assis dans son coin, près de la fenêtre, et regarde la scène par l’entremise de son reflet dans la vitre. Non, ce n’est pas totalement vrai. Le Gaïus que je connais est un peu plus grand, il a la mâchoire plus carrée. Je regarde sa version plus jeune, il ne doit pas avoir plus de douze ans. Comme c’est curieux. Je m’en approche et je l’observe, mais il ne me voit pas. Je tends ma main vers lui pour l’effleurer, mais son regard doré se plante dans le mien avec animosité. Message reçu cinq sur cinq, ou peut-être pas. Il recommence à m’ignorer immédiatement après, se levant plutôt pour lancer un commentaire désobligeant contre l’histoire de madame Héra. Cette dernière replace ses lunettes et prépare une réponse, pesant ses mots. Elle sait que Gaïus a perdu son monde et sa famille, mais que lui s’en souvient. Elle sait qu’il a l’impression de perdre son temps et qu’il n’est pas vraiment méchant, mais qu’il n’a pas la langue dans sa poche. Pourtant, c’est quelqu’un d’autre qui se lève d’un bond, ses petites joues toutes rosées.

Je reconnais sa chevelure particulière, d’un genre de turquoise très pâle, nouée en une courte tresse. Les doigts de ses petites mains s’entortillent et, avec des mots que je n’entends pas, elle tente de reprendre Gaïus. Ondine a toujours été comme ça, timide, mais décidée. Malgré sa fragile santé, c’est toujours la première à reprendre notre aîné et à vouloir remonter le moral de tout le monde. Les autres orphelins l’aiment beaucoup et madame Héra a déjà dit à de nombreuses reprises que c’est elle qui héritera de l’endroit, lorsque le temps sera venu. Il n’y a pas meilleur choix, selon moi. Le blond se renfrogne et ne dit plus rien, reportant son attention sur la rue calme et paisible. C’est une scène tout à fait normale, ou plutôt, c’est une scène qui aurait été tout à fait normale, si tant de choses n’avaient pas changées depuis. D’ailleurs, cela me porte à me poser une question tout autre. Où suis-je, moi? Voyons voir, si Gaïus a douze ans dans ce rêve, je devrais en avoir dix. Ce que je faisais à l’époque? Bingo. M’éloignant du reste de la scène, je retrouve le coin à dessin. Y repose une version plus jeune de moi, les lunettes abandonnées au milieu d’un tas de croquis qui se veulent scientifiques, le visage enfoui dans le poil d’Arès. Le gros chien loup respire à un rythme régulier, serein. C’est presque incongru de le voir aussi sage, lui qui passe son temps à chercher les embrouilles et à se gonfler le poil pour rien. Il n’a pas volé son nom, ça c’est certain.

Attendrit par cette vision, je mets un genou ou sol et caresse vigoureusement son encolure. L’une de ses paupières se soulève difficilement, laissant apercevoir un iris d’un jaune vif, presque fluorescent. Semblant me reconnaître, il fouette l’air de sa queue et se lève, se jetant sur moi pour m’écraser de ses grosses pattes puissantes, me léchant le visage et tirant sur mon chandail, comme pour me forcer à le suivre. Je ne comprends pas et, une fois de plus, je suis désorienté. Il a l’air tellement plus vrai que le reste. Arès ne part pas, ne baisse pas les bras, quand bien même je tente de le chasser. Et, soudainement, tout redevient clair. Je suis couché, ma tête reposant sur ma veste, roulée pour faire office d’oreiller. Un courant d’air me fait frissonner et je reprends peu à peu le contact avec la réalité. Un rêve. Tout cela n’était rien de plus qu’un songe, évidemment. C’est la seule explication logique. Encore endormi, je me relève en baillant, me frottant les yeux et cherchant mes lunettes à tâtons. Un peu plus loin, j’entends Arès qui grogne, le poil hérissé et les dents bien en évidence. Campé sur ses pattes, il semble avoir repéré quelque chose entre les arbres épais de Deep Jungle. Sans plus attendre, j’attrape l’un de mes pistolets et me lève, allant me poser à ses côtés et passer ma main dans son épais pelage, pour le rassurer. Plissant un peu les yeux, j’arrive à repérer dans la pénombre du petit matin ce qui l’a fait réagir. Des heartless. Il est temps de lever les voiles. Ni une ni deux, je récupère mes quelques effets et me dirige vers notre vaisseau gummi, rappelant à moi mon compagnon d’un sifflement. C’est au trot qu’il me rejoint, les oreilles toujours rabattues vers l’arrière. Les silhouettes de ténèbres profitent de ce moment d’inattention du canidé pour se rapprocher, mais il me suffit de faire feu dans leur direction à une ou deux reprises avec mes balles de lumière pour qu’ils abandonnent l’idée. Bien, plus qu’à quitter ce monde, direction la maison.

Tous les systèmes semblent opérationnels. Je n’ai rien oublié à l’extérieur et nous sommes prêts au décollage. Parfait. J’enclenche le pilote automatique et laisse l’engin faire son travail, me préparant à faire le mien. Je récupère un grand sac de toile brune, l’ouvrant pour étaler son contenu au grand jour et le comparer avec mes notes. Je dois faire l’inventaire, de façon aussi méthodique qu’à l’habitude. Je suis un peu énervé, toutefois, de n’avoir pas pu effectuer mon petit rituel du matin. J’ai affreusement hâte de pouvoir prendre mon petit déjeuner sain, de me brosser les dents et de faire un brin de toilette. Ce devra attendre à l’Orphelinat, je suppose. Sauf qu’il n’y a pas que ça. Ce rêve m’a troublé. Replaçant mes lunettes, je lève mes iris émeraude vers une petite photo, sur mon tableau de bord. Nous y sommes tous les trois, même Gaïus y a un air souriant. Dire que cette photo a été prise il y a à peine un an. Il est encore surréaliste de me dire qu’il nous a quitté, mais c’est un fait que je suis contraint d’accepter. S’il en avait été autrement, je ne serais même pas assis ici. Le plus dur, c’est probablement l’ignorance. Notre ami a simplement cessé de rentrer, sans aucune explication. Qui sait ce qui a bien pu lui arriver?

C’est un moogle qui est venu nous voir, en provenance de leur boutique. Inquiet, il se demandait si nous savions ce qu’il était advenu de Gaïus. Lorsque nous avons répondu par la négative, il est devenu évident pour tout le monde que quelque chose ne tournait pas rond. Le blond faisait affaire avec eux depuis des années, parcourant les mondes via un vaisseau gummi confié par leurs soins pour tuer des heartless et récupérer de précieux matériaux. Les moogles pouvaient ensuite les lui racheter pour les besoin de leur atelier de synthèse, ce qui procurait des fonds à l’Orphelinat. Le tout créait une sorte de symbiose précieuse qui ne devait pas être brisée. Il nous fallait donc un remplaçant et en tant qu’aîné, je m’étais porté volontaire. Non seulement je devais le faire pour le bien des enfants, mais il s’agissait d’une opportunité en or de chercher Gaïus et son vaisseau. Du moins, c’était le plan d’origine. Dans les faits, mes progrès sont non-existants à ce sujet. Le mystère demeure entier. La seule chose que j’arrive à faire, c’est inquiéter tout le monde. Enfin, ça et leur ramener de quoi vivre par l’entremise des moogles. Tiens, je crois même avoir réussi à ramener un morceau de mythril cette fois. Ils seront tous ravis, lorsque je leur annoncerai qu’on aura la chance de se faire une soirée gâteau.

Je suis tiré de mes pensées par notre arrivée dans le ciel de Traverse Town. Nous ne sommes qu’une étoile filante parmi tant d’autres, à la différence que nous allons atterrir. Je bascule l’engin en mode manuel et, avec maintes précautions, me dirige vers ma piste habituelle. Concentré, j’entends à peine les gémissements d’Arès en fond. Le pauvre canidé a toujours eu le mal des transports et, s’il a commencé à s’y faire, le départ et l’arrivée ne lui plaisent pas plus qu’avant. Courage compagnon, le plus dur est passé, me dis-je en éteignant les moteurs et en ouvrant enfin le cockpit. D’un bond agile, le canidé gagne le sol pour s’y rouler avec soulagement sous mon regard amusé. De mon côté, je récupère le sac de toile, mon linge sale et mon sac d’effets personnels, direction l’Orphelinat. Il s’agit d’une petite maison qui, si elle avait plus de charme dans le temps, n’en est pas moins aimée de tous. Son parement coloré et ses multiples fenêtres lui donnent un peu d’originalité. Enfin, ça et la grosse enseigne qui aurait d’ailleurs besoin d’être re-peinturée. Nous n’avons même pas approché la porte que celle-ci ouvre pour laisser passer un torrent de petits monstres, tous plus enthousiastes les uns que les autres. Grand frère Éole est rentré à la maison et tout le monde en veut une part. C’est attendrissant d’une certaine façon, je ne m’en plains pas. Surtout qu’il y a bien pire, comme la silhouette d’Ondine qui émerge de l’habitation en éloignant tous les gamins pour se frayer un chemin jusqu’à moi. On pourrait croire qu’elle va me serrer dans ses bras, mais ce serait mal la connaître. Pour une fille malade, la demoiselle a du caractère à revendre et a beaucoup pris en confiance dernièrement.

Poings sur les hanches, elle me dévisage et lève un doigt. Commence alors le sermon. J’aurais dû rentrer il y a trois jours déjà, les enfants étaient inquiets et mon absence commençait à affecter le moral de tout le monde. Bien sûr, elle ne viendra jamais dire qu’elle-même est spécifiquement inquiète pour moi. Elle ne dira pas non plus devant les enfants qu'elle craint une attaque de la confrérie sur Traverse Town et que, gardiens ou pas, elle ne se sent en sécurité que lorsque je suis là. Je devrais moins travailler, passer plus de temps avec eux. Passer plus de temps à protéger la lumière dans le coeur des orphelins avec elle. Parfois, j’ai l’impression que nous avons l’air d’un vieux couple marié et c’est très, très embarrassant. Intimidé, je me masse la nuque et lève mon sac aux trésors en mentionnant que ça aura valu la peine. Son sourcil haussé me laisse deviner son niveau de scepticisme alors que la jeune femme reprend. Ils ont prit de l’avance sur le programme scolaire des enfants et, à cause de mon absence, ils n’ont pas pu travailler depuis près d’une semaine. Il n’y a sans doute qu’Ondine pour s’en plaindre, mais vaut mieux ne pas répliquer. Il est vrai que je m’occupais de l’éducation de tout ce beau monde depuis le décès de cette chère madame Héra, laissant toutes les autres tâches à la nouvelle madame Ondine. Depuis que j’ai hérité des responsabilités de Gaïus en prime, je ne peux plus faire la classe aux orphelins moi-même. C’est un mal nécessaire, sans oublier que je vais pouvoir profiter de ces quelques jours de vacance, avant de repartir, pour vivre ma passion encore un peu. Je fais un bien meilleur professeur que je ne suis chasseur de trésor ou protecteur de la lumière. Mais avant ça, mon petit déjeuner m’attend!

Bonjour bonjour! On me surnomme généralement Meg, mais j’aime beaucoup le prénom d’Éole alors n’hésitez pas à vous en servir Je fais du rp depuis plusieurs années, bientôt dix en vérité (ce qui ne me rajeunit pas du tout). J’ai découvert le forum via un partenariat avec un autre forum de Kingdom Hearts et j’ai eu envie de m’inscrire pour voir ce que celui-ci avait à offrir. Cela fait un petit moment que j’hésite à m’inscrire en vérité, mais je tente finalement ma chance. Sinon habituellement je suis aussi active sur un forum de Pokémon depuis près de deux ans maintenant et je pense que c’est à peu près ça niveau background de rpgiste. Sinon dans la vie plus en général je suis une petite québécoise qui aime dessiner (surtout mes personnages ou mes ship, huhuhu), j’aime la musique et j’ai un chat qui représente toute ma vie <3. J’ai aussi possiblement un retour aux études de prévu pour cet automne (je croise toujours les doigts), mais je vous tiendrai au courant si cela devait affecter mon activité. Donc voilà voilà, amour, cookies et tassé de thé sur vous! J’espère que l’on s’entendra bien =)