Gentils, méchants, j'vous tape tous, y aura bien les bons dans le tas - Carnby Wilbur
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Sujet: Gentils, méchants, j'vous tape tous, y aura bien les bons dans le tas - Carnby Wilbur Lun 1 Fév - 22:47
Carnby Wilbur aka "Beau gosse"
Some Informations
Nom & Prénom : Carnby Wilbur Âge : 25 ans (âge atlante non inclut), à reprit une vieillesse "normale" à 16 ans. Lieu de naissance : Inconnu, a grandi à Atlantide puis Avalon Groupe : Civil Arme :*Arondight: Le revolver personnalisé de Carnby. Doté d'un barillet à 12 balles en argent pouvant être chargé par le biais du Cernunnos en concentré ou à charge. La différence? Concentré ça brûle et à charge ça fait boom. Ajoutez cela à deux canons avec un calibre de 47 en plus de sa taille excessive le rend particulièrement lourd et difficile à manier même pour un vétéran. A en voir les gravures, celui-ci fut confectionné avec une attention quasi-pathologique.
Oh et pour les deux du fond qui ont rien capté à ce que fait ce flingue, en gros: ça pique.
Spoiler:
*Durandal Mk.II:L'épée personnalisé de Carnby (de toute façon il a tout pimpé avec les mogs). Un espadon courbe gigantesque à l'épaisse lame extrêmement robuste. L'avant de celle-ci agit comme n'importe quelle épée à deux mains tandis que le dos, plat et lisse, est bien assez large pour servir de façon contondante. Mais ce qui vous intrigue (surtout si vous avez cliqué sur la section spoiler, p'tit pressé va) ce sont ces quatre mini-réacteurs et le levier à la poignée. Et c'est là le "petit" joker de Durandal (et de quoi prouver que la lame n'est pas large pour compenser quelque-chose), un authentique moteur s'y trouve à l'intérieur. Ce dernier exploite le Cernunnos, le canalise et la libère sous plusieurs formes. Cela a pour effet, en général, d'imbiber la lame d'une énergie brûlante, d’exécuter des propulsions voir même des mini-explosions. La pression est si forte que le meilleur moyen de l'exploiter serait d'embrasser sa furie (oui je sais c'tellement bien dit).
Oh et pour les deux du fond qui ont rien capté à ce que fait cette épée, en gros: ça pique.
Spoiler:
Pouvoir : Cernunnos: Outre le fait qu'il soit un beau gosse absolu, la première chose visible chez Carnby, c'est son bras. Aussi monstrueux qu'énigmatique, celui-ci semble être le vecteur d'une énergie aux étonnantes propriétés. Encore un secret quasi-absolu pour Carnby, ce dernier n'est capable que de transmettre l'énergie sur tout et n'importe quoi par contact physique. Outre les effets apportés à son équipement, cette énergie peut également être transposée sur le bras droit afin d'en améliorer considérablement la force par le biais d'une extension spectrale. Étrangement, si Carnby use du plein potentiel de Cernunnos, on peut apercevoir une silhouette imposante et bestiale accompagnant ses mouvements. Malgré cela, cette apparition n'a aucun effet apparent si ce n'est de l'ordre "cosmétique". Oh et, lois de la physique obligent, Cernunnos ne peut être utilisé que sur une seule "cible" à la fois.
La nature de Cernunnos est certes un mystère mais ses effets sont bien là. L'énergie qu'elle exploite n'est autre que celle de la pièce maitresse de la vie et de la mort: le cœur. C'est son utilisation trop excessive qui fatigue le corps et en fait ce qu'il est. Dépérissement ou évolution? Inné ou imposé? Quoi qu'il en soit, le bras n'est que la partie visible de l'iceberg.
Oh et pour les deux du fond qui ont rien capté à ce que fait ce machin, en gros: ça pique.
Race : Demi-humain
Caractère • Inside of me
Carnby c'est l'homme le plus simple du monde. C'est bon vous pouvez partir. ...Wokay, je vois que vous avez envie de lire un truc chiant alors c'est partit. Passons en mode Jean-Michel écrivain et go.
Comme dit plus haut, y a pas plus simple que Carnby. Enfin presque. Déjà le premier truc qui frappe c'est le calme. Jamais stressé, rarement tendu et pas le moins du monde anxieux. Pire encore, il donne l'impression d'en avoir strictement rien à faire de ce qui peut parfois se passer. Non pas qu'il soit sans coeur ou blasé mais disons plutôt...décalé? Pratiquement tout ce qui peut se passer dans la vie, Carnby le prends avec une apparente légèreté déconcertante. Si on devrait lui demander si le verre est à moitié vide ou plein, il pourrait pas vous le dire. Il aurait déjà tout bu. Prenons ce scénario par exemple:
Prenez un village, c'est calme, paisible et finalement plutôt chiant quand soudain (plot twist n°47) une grosse bande de sans-coeurs vient enjailler le tout à coups de meurtre, de destruction et de ténèbres trop dark. Vous avez l'image mentale? Bien, maintenant devinez où pourrait bien se trouver Carnby dans toute cette histoire. Allez devinez. Non c'est pas en première ligne. Pas à prendre la fuite non plus. Hein? Nan mais attendez il va pas rejoindre les sans-coeurs, c'est pas sympa. Noooon, vous voyez le type qui sort du restaurant de façon précipité en même temps que le reste des occupants? Celui qui, après avoir fouillé ses poches, s'en va poursuivre le servant courant pour sa vie afin de lui donner son payement? Yup, c'est lui. Bon, je sais c't'un petit peu décevant mais reprenons. Aussi hors-contexte que cela puisse paraitre, le Wilbur national insiste vraiment pour donner la récompense pour l'effort fourni tout en déglinguant tous les sans-coeurs sur son passage. Ce n'est qu'alors que le paiement est enfin viré que le vrai show commence. Car oui, quand Carnby fait quelque-chose, c'est toujours avec le swag, le vrai. Pas besoin d'agir comme s'il était au-dessus des autres, il EST au-dessus. Extravagant, provocateur, blagueur du dimanche et mitrailleur de punchlines ringardes. Plus qu'une passion, c'est une façon de vivre. La suite est comme un bon gros shonen des familles. Les sans-coeurs se font botter le train face au pouvoir du sauveur impromptu. Cependant, c'est 75% du temps une mauvaise fin. Oh non les gens sont sain et sauf et tout va bien mais maintenant qu'ils sont persuadés qu'il est un monstre (en même temps c'est vrai que son bras est moche) ils oublient soudainement qu'ils ont tous failli casser leurs pipe 10 minutes plus tôt. Et le tout se termine par un nouveau départ précipité. Qu'il ait la gloire à son nom ou pas, il s'en moque royalement.
C'est comme ça qu'il parait à première vue. Mais étonnement, Carnby n'est pas si bavard que ça, ça oui. Pas coincé du *** (loin de là même), quand il l'ouvre, c'est toujours de façon brève et franche. Certes on aura toujours droit à son humour de bas étage mais c'est déjà ça. Quand il la ferme, il écoute mais, attention, ça ne rentre pas par l'oreille pour ressortir par l'autre non. Il fait attention à ce qui est dit et montre même des signes de bon sens voir même de sagesse (enfin c'est un grand mot). Que vous soyez grand ou petit, gardien ou confrérie, pain au chocolat ou chocolatine, Carnby il juge pas. Il a pas la prétention et ça l'intéresse pas. C'est pareil quand il s'agit d'utiliser sa matière grise. Les coups bas pour lui ça se fait pas. Manipuler les autres il l'a jamais fait, ça le branche pas. Oh il n'est pas crétin. Il sait quand on tente de le manipuler mais il laisse faire. Les gens ont leurs raisons. Ça le dérange pas au final. Pas prise de tête mais pas totalement stupide. De toute façons, quand il fait quelque-chose c'est toujours de manière désintéressé. C'est toujours comme ça, avec lui. Toujours donner sans rien gagner. Bien souvent en dépit de sa personne. Il est même capable de filer un coup de main à un type qui aurait tenté de le tuer 15min plus tôt. Nan, l'est pas rancunier pour un sous. A ce stade, on surprendra personne en disant qu'il faut vraiment le faire pour qu'il déteste quelqu'un. Encore faudrait-il qu'il dise son ressenti en général. Malgré son extravagante désinvolture, il ne laisse jamais transparaitre ses émotions ni ses sentiments. Il ne se plaint jamais, ne s'extasie pas et ne se met pas en colère. Presque un pauvre cow-boy solitaire loin de chez lui. Vu son attitude, on ne pourrait même pas savoir s'il encaisse ou s'il s'en fiche.
Quoiqu'il en soit, Carnby il aide, il blague et il repart. Vous voyez qu'il y a pas plus simple comme garçon.
Histoire • On the tracks of my past
Chapitre I: Rattraper le temps {Traverse Town}
Une fois de plus, les lumières fusent depuis les fenêtres, la fumée implose de la cheminée tandis que les murs étouffent à peine un sacré vacarme. Comme bien souvent, l'atelier moogle est en pleine activité sur on-ne-sait quel projet (ou bien un repas de famille à la mexicaine). N'importe qui avec une constitution neuronale décente attendrait que ça se calme pour y entrer. Début de l'histoire oblige, voilà qu'un homme à l'instinct de survie relativement peu développé se pointe. Parce que vérifier le panneau ouvert ça sert à rien et que frapper à la porte c'est mesquin, l'inconnu ouvre directement la porte (y en a qui aiment vivre dangereusement). Étonnamment, aucune machine n'est en marche et pratiquement tous les outils sont à leurs places. De tous les occupants habituels, il n'y a qu'un seul mog présent. Il ne l'entends pas venir, trop obnubilé par son labeur. L'intrus au cheveux pâles marche d'un pas tranquille et assura. Tout juste derrière le petit bricoleur, il se penche légèrement, main droite dans la poche et l'observe d'un oeil vif. Plutôt que de me laisser continuer à faire des descriptions, l'arriviste ne tarde pas à tapoter d'une seule fois l'épaule du mog. Non, il l'avait définitivement pas remarqué. Le sursaut accompagné d'un cri alors que son fer à souder s'échappe des mains semble assez révélateur. L'outil voguant dans les airs, ce dernier menace de faire un nouvel orbite à l'invité surprise. Stoïque, il ne réagit pas et c'est au dernier moment que deux petites pattes blanchâtres stoppent le fer juste à temps.
Yo.
Hey ça fait un bail kupo!
Aussitôt, l'agile mog sauta sur l'individu pour atterrir en pleine face, toujours avec le fer à souder dans les mains.
Je ne m'attendais vraiment pas à te voir kupo! Qu'est-ce que tu faisais depuis le temps kupo?
*voix étouffé* Rétorqua l'homme au visage recouvert d'un nain volant à pompom rouge tout en tapant du doigt la patte du mog. Ce n'est qu'à ce moment-là que ce dernier réalisa qu'il y avait comme un soucis. Un fer à souder encore brûlant sur l'arrière du crâne de l'individu prit en otage. Dans un élan de précipitation, il le retira d'un coup sec (et lui-même avec).
Oh désolé Kupo! J'étais en plein travail et- L'émotion t'étrangle, moi avec.
Les retrouvailles se poursuivirent ensuite. Chacun parlant de tout et de rien pour rattraper le temps (enfin surtout le mog, on va pas se l'cacher). Déjà quelques années se sont écoulés depuis leur dernière rencontre. Bien que vous soyez là pour ça, on vous épargnera tous les racontage de vie inutile pour aller à l'essentiel.
Et c'est comme ça qu'on a pu ouvrir l'atelier kupo. Les affaires ont reprit depuis une bonne année maintenant kupo. Le fait que nos trois premiers clients soient aussi réputés aida beaucoup à la notre kupo!
Sérieux?
Absolument Kupo! Et tu ne me croiras jamais qui kupo! Le magicien officiel de la cour et le capitaine de la garde de sa majeté Mickey ET un élu de la keyblade kupo!
Sûr que ça vous a ouvert des portes maintenant. D'ailleurs... L'homme se tut un instant pour brandir un gigantesque fourreau avant de le tendre à son ami minuscule.
Oh Durandal a besoin de quelques réajustements kupo? Je te fais ça tout de suite ku- ...Mais, elle s'est brisée Kupo?! Comment est-ce possible kupo?
Sans dire mot, son propriétaire sortit sa main de la poche avant de retrousser la manche du manteau.
Kupo... Ca n'était que la main avant kupo.
J'tombe sur des morceaux de plus en plus gros. J'ai dû forcer la dose et les deux ont pas appréciés la blague.
La réparer serait vraiment très compliqué kupo... KUPO! Mais oui c'est ça kupo! Huh? Plus que la réparer, je vais la remettre au niveau kupo! T'es sûr qu- Reviens dans deux semaines et tu auras de quoi tenir pour le restant de tes jours Kupo! Tu reste encore dans le coin kupo?
Nan, faut que j'retourne au bercail. J'vais devoir y aller tout de suite. J'te reverrais quand ça sera prêt. Allez tchuss Mogeko.
Chapitre II: Retrouver le temps {Avalon, quelques jours plus tôt}
Marchant parmi la foule, l'homme aux cheveux d'argent se fraie un chemin parmi l'océan de vie. C'est quelque-chose de bien particulier qui l'intéresse. Il sait où il se trouve et lui sait qui il risque de trouver. Ce qui était une marche devient une course puis une véritable chasse. Le temps presse.
[EN COURS]
Et derrière l'écran
Yop mes poules, c'est Thot. Je reviens botter des rp et mâcher du chewing-gum et j'ai plus de chewing-gum à mâcher.